les pointes médiévales
2 participants
La préhistoire en Lorraine :: Archéologie expérimentale :: Chasse, pêche, nature et cueillette :: Arcs et flèches
Page 1 sur 1
les pointes médiévales
Voici les pointes de flèches médiévale qui était utilisés au moyen-age
Photos prise sur le web (ami)
Les poinçons
Appelés bodkins par les anglais, destinés exclusivement à la guerre, où leur fonction est de percer les côtes de mailles et les armures. Ces dernières résistant assez bien à la pénétration des pointes, étaient cependant transpercées à courte distance par des pointes lourdes à l'inertie importante. Ces différentes pointes n'étaient pas fixées sur le fût, mais simplement emmanchées en force. De la sorte, en retirant la flèche du corps, la pointe restait dans la blessure, augmentant la difficulté d'extraction et les risques de mortalité. Il en était de même pour celles se fichant dans des obstacles ou protections (boucliers, palissades, etc.), le projectile ainsi « désarmé » ne pouvait être retourné à l'envoyeur.
Les lames
Elles sont destinées autant à la chasse qu'à la guerre où elles sont utilisées contre la piétaille mal protégée. Leur tranchant parfaitement affûté permet (comme nos lames modernes) de provoquer des hémorragies importantes.
Les pointes barbelées
Elles ont été utilisées dans presque toutes les guerres du Moyen Age contre les piétons mal équipés, mais aussi pour la chasse au gros gibier. Grâce à leurs longs bords tranchants, elles occasionnaient de très larges blessures, leur masse permettant un pénétration profonde. Les barbes étant là pour rendre l'extraction de la flèche difficile et réservée à des spécialistes équipés d'instruments chirurgicaux très spécifiques comme nous l'indique Ambroise Paré dans un traité du XVI ème siècle (l'utilisation de l'arc est pourtant en pleine décadence, remplacé par les armes à feu) « Si le fer estoit barbelé, ainsi que souvent est la flèche angloise, et estoit à l'endroit d'un os, ou inséré dedans,... lors ne le convient pousser, mais plutôt-dilater la plaie en évitant les nerfs et les grands vaisseaux, ainsi que le fait un bon et expert chirurgien anatomique, aussi faut-il appliquer un dilatoire, cavé en sa partie intérieure, en sorte que l'on puisse prendre les deux ailes du fer, puis avec le bec de grüe, le tenir ferme, et tirer les trois ensemble».
Les douilles de ces pointes étaient percées pour leur permettre d'être clouées sur le fût afin d'éviter de les perdre, leur difficulté de réalisation les rendaient coûteuses.
Les pointes à usage très spécifique
La pointe incendiaire
les quatre branches servant à maintenir l'étoupe imprégnée de poix ou autre combustible, le carrelet en bout permet à la flèche de se ficher dans les constructions à détruire par le feu. Les branches, en s'écrasant au moment de l'impact, permettent au produit incendiaire de se retrouver en contact avec le bois ou la matière à enflammer. Cette pointe peut aussi servir à la « guerre bactériologique », en propulsant pendant un siège des petits morceaux de viande contaminés que les chiens par exemple vont manger et transmettre à la population. C'est le type même de pointe délicate à réaliser du fait de la double fente dans le métal et de sa soudure en bout pour former la pointe
La pointe coupe jarret
sa lame en forme de hache en fait une pointe à trancher sans pénétration, elle était destinée à blesser douloureusement les chevaux, semant ainsi le désordre dans les rangs de la cavalerie
La coupe amarre
apparemment courante au Moyen-âge, elle est censée avoir servie à couper les cordages des navires.
Hypothèse discutable du fait de la grosseur des cordes de chanvre utilisées sur un navire, et de la difficulté à maîtriser un vol à l'horizontale d'une telle lame, condition indispensable pour la coupe... Ou peut-être fut-elle utilisée pour créer des déchirures importantes dans les voilures ? On
aurait dû en retrouver sur l'épave du Mary Rose, navire destiné au combat naval, ce n'est pas le cas. Il est possible que cette pointe étrange ait eu la même utilisation que la coupe jarret
Pointes non représentées :
A partir du XVème siècle, l'usage de la douille a tendance à laisser la place à un montage sur soie. Nous retrouvons ainsi la plupart des flèches précédemment décrites sur ce montage, à l'exception des poinçons.
Deux types de soies étaient employées : la soie large et plate de la largeur du fût, celle-ci se logeant dans une fente, ou fine et longue, en forme de clou venant se loger dans un trou pratiqué au bout de la flèche. Dans les deux cas, une ligature sérieusement réalisée avec du fil de lin ou de chanvre collé doit être réalisée pour éviter l'éclatement du bout au moment de l'impact
Le poids des pointes de flèches varient le poids est estimé entre 70g pour les plus légères et près de 110g pour les plus lourdes....
Photos prise sur le web (ami)
Les poinçons
Appelés bodkins par les anglais, destinés exclusivement à la guerre, où leur fonction est de percer les côtes de mailles et les armures. Ces dernières résistant assez bien à la pénétration des pointes, étaient cependant transpercées à courte distance par des pointes lourdes à l'inertie importante. Ces différentes pointes n'étaient pas fixées sur le fût, mais simplement emmanchées en force. De la sorte, en retirant la flèche du corps, la pointe restait dans la blessure, augmentant la difficulté d'extraction et les risques de mortalité. Il en était de même pour celles se fichant dans des obstacles ou protections (boucliers, palissades, etc.), le projectile ainsi « désarmé » ne pouvait être retourné à l'envoyeur.
Les lames
Elles sont destinées autant à la chasse qu'à la guerre où elles sont utilisées contre la piétaille mal protégée. Leur tranchant parfaitement affûté permet (comme nos lames modernes) de provoquer des hémorragies importantes.
Les pointes barbelées
Elles ont été utilisées dans presque toutes les guerres du Moyen Age contre les piétons mal équipés, mais aussi pour la chasse au gros gibier. Grâce à leurs longs bords tranchants, elles occasionnaient de très larges blessures, leur masse permettant un pénétration profonde. Les barbes étant là pour rendre l'extraction de la flèche difficile et réservée à des spécialistes équipés d'instruments chirurgicaux très spécifiques comme nous l'indique Ambroise Paré dans un traité du XVI ème siècle (l'utilisation de l'arc est pourtant en pleine décadence, remplacé par les armes à feu) « Si le fer estoit barbelé, ainsi que souvent est la flèche angloise, et estoit à l'endroit d'un os, ou inséré dedans,... lors ne le convient pousser, mais plutôt-dilater la plaie en évitant les nerfs et les grands vaisseaux, ainsi que le fait un bon et expert chirurgien anatomique, aussi faut-il appliquer un dilatoire, cavé en sa partie intérieure, en sorte que l'on puisse prendre les deux ailes du fer, puis avec le bec de grüe, le tenir ferme, et tirer les trois ensemble».
Les douilles de ces pointes étaient percées pour leur permettre d'être clouées sur le fût afin d'éviter de les perdre, leur difficulté de réalisation les rendaient coûteuses.
Les pointes à usage très spécifique
La pointe incendiaire
les quatre branches servant à maintenir l'étoupe imprégnée de poix ou autre combustible, le carrelet en bout permet à la flèche de se ficher dans les constructions à détruire par le feu. Les branches, en s'écrasant au moment de l'impact, permettent au produit incendiaire de se retrouver en contact avec le bois ou la matière à enflammer. Cette pointe peut aussi servir à la « guerre bactériologique », en propulsant pendant un siège des petits morceaux de viande contaminés que les chiens par exemple vont manger et transmettre à la population. C'est le type même de pointe délicate à réaliser du fait de la double fente dans le métal et de sa soudure en bout pour former la pointe
La pointe coupe jarret
sa lame en forme de hache en fait une pointe à trancher sans pénétration, elle était destinée à blesser douloureusement les chevaux, semant ainsi le désordre dans les rangs de la cavalerie
La coupe amarre
apparemment courante au Moyen-âge, elle est censée avoir servie à couper les cordages des navires.
Hypothèse discutable du fait de la grosseur des cordes de chanvre utilisées sur un navire, et de la difficulté à maîtriser un vol à l'horizontale d'une telle lame, condition indispensable pour la coupe... Ou peut-être fut-elle utilisée pour créer des déchirures importantes dans les voilures ? On
aurait dû en retrouver sur l'épave du Mary Rose, navire destiné au combat naval, ce n'est pas le cas. Il est possible que cette pointe étrange ait eu la même utilisation que la coupe jarret
Pointes non représentées :
A partir du XVème siècle, l'usage de la douille a tendance à laisser la place à un montage sur soie. Nous retrouvons ainsi la plupart des flèches précédemment décrites sur ce montage, à l'exception des poinçons.
Deux types de soies étaient employées : la soie large et plate de la largeur du fût, celle-ci se logeant dans une fente, ou fine et longue, en forme de clou venant se loger dans un trou pratiqué au bout de la flèche. Dans les deux cas, une ligature sérieusement réalisée avec du fil de lin ou de chanvre collé doit être réalisée pour éviter l'éclatement du bout au moment de l'impact
Le poids des pointes de flèches varient le poids est estimé entre 70g pour les plus légères et près de 110g pour les plus lourdes....
Gwendoleen- Messages : 10
Date d'inscription : 19/11/2010
Localisation : sud
Re: les pointes médiévales
merci beaucoup pour ton post, cela va en intéresser plus d'un !
J'ai essayé de remonter l'adresse du blog, mais cela ne marche pas ; tu peux donner le lien d'accueil, cela ne coûte rien.
Quand je te parlais des dimensions et poids, c'était très spécifique, à savoir le cas de tes pointes à toi, et mieux encore si tu avais, par curiosité, fait le rapport entre poids de la pointe et poids général de ta flèche.
Je te demande ça, car avec Baj'os nous travaillons sur une typologie des armatures lorraines, et c'est un facteur spécifique qu'il nous faudrait étudier en détail. Daniel Roualet me l'avait proposé, mais plus de nouvelles ! Et puis, 2 études ne peuvent pas faire de mal...
J'ai essayé de remonter l'adresse du blog, mais cela ne marche pas ; tu peux donner le lien d'accueil, cela ne coûte rien.
Quand je te parlais des dimensions et poids, c'était très spécifique, à savoir le cas de tes pointes à toi, et mieux encore si tu avais, par curiosité, fait le rapport entre poids de la pointe et poids général de ta flèche.
Je te demande ça, car avec Baj'os nous travaillons sur une typologie des armatures lorraines, et c'est un facteur spécifique qu'il nous faudrait étudier en détail. Daniel Roualet me l'avait proposé, mais plus de nouvelles ! Et puis, 2 études ne peuvent pas faire de mal...
Re: les pointes médiévales
oopsss j'avais pas compris milles excuses je vais faire un topo complet.En espérant que tu trouveras réponse .
Nous allons donc entrer dans les mystères qui répondent aux critères indispensables :Mais je mettrais que vraiment l'essentiel.
Les diamètres les plus utilisés pour les futs sont :
5/16 d'inch ( 7,94 mm.)
11/32 d'inch ( 8,73 mm.)
23/64 d'inch ( 9,13 mm.)
Spine de la flèche Peut-être défini comme la déformation d'un fût reposant sur 2 appuis, sous l'influence d'un poids déterminé.
Selon la norme internationale, le fût repose sur 2 appuis distants de 66 cm.
et le poids doit être de 908 grammes.
Pendant la pesée, le fil du bois doit être selon le dessin No1 afin que sur l'encoche
se retrouve selon dessin No 2 pendant le tir.
L'équilibre
les plumes Leurs longueurs varient entre 3 et 5,5 pouces (76,2 mm. et 139,7 mm.)
leurs formes sont variables et le choix est surtout une affaire de goût.
Quant à la longueur, il faut se souvenir que, plus une flèche est tirée de près
plus vite elle se redressera avec une longue plume.
Les pointes de flèches :
Soit en acier, ou en laiton.
Encore une question de goût personnel. Les poids des pointes varient entre : 70 et 125 grains
soit : de 4,54 et 8,1 grammes (rappel 1 grains = 0,0648 grammes)
le paradoxe
En réalité, au lâcher de corde, la flèche s'enroule autour de la poignée d'arc sous l'influence de la pression,
de l'acquisition de sa vitesse, contrariée par la résistance de son poids et donc, de son inertie (voir dessin 1)
Puis, par phases successives, la flèche se redresse, pour finalement prendre la direction de la ligne de visée (voir dessin 2)
Cette courbe de départ, qui peut atteindre 3 cm. correspond au spine. (voir spine)
Dessin 1
Dessin 2
Nous allons donc entrer dans les mystères qui répondent aux critères indispensables :Mais je mettrais que vraiment l'essentiel.
Les diamètres les plus utilisés pour les futs sont :
5/16 d'inch ( 7,94 mm.)
11/32 d'inch ( 8,73 mm.)
23/64 d'inch ( 9,13 mm.)
Spine de la flèche Peut-être défini comme la déformation d'un fût reposant sur 2 appuis, sous l'influence d'un poids déterminé.
Selon la norme internationale, le fût repose sur 2 appuis distants de 66 cm.
et le poids doit être de 908 grammes.
Pendant la pesée, le fil du bois doit être selon le dessin No1 afin que sur l'encoche
se retrouve selon dessin No 2 pendant le tir.
L'équilibre
les plumes Leurs longueurs varient entre 3 et 5,5 pouces (76,2 mm. et 139,7 mm.)
leurs formes sont variables et le choix est surtout une affaire de goût.
Quant à la longueur, il faut se souvenir que, plus une flèche est tirée de près
plus vite elle se redressera avec une longue plume.
Les pointes de flèches :
Soit en acier, ou en laiton.
Encore une question de goût personnel. Les poids des pointes varient entre : 70 et 125 grains
soit : de 4,54 et 8,1 grammes (rappel 1 grains = 0,0648 grammes)
le paradoxe
En réalité, au lâcher de corde, la flèche s'enroule autour de la poignée d'arc sous l'influence de la pression,
de l'acquisition de sa vitesse, contrariée par la résistance de son poids et donc, de son inertie (voir dessin 1)
Puis, par phases successives, la flèche se redresse, pour finalement prendre la direction de la ligne de visée (voir dessin 2)
Cette courbe de départ, qui peut atteindre 3 cm. correspond au spine. (voir spine)
Dessin 1
Dessin 2
Gwendoleen- Messages : 10
Date d'inscription : 19/11/2010
Localisation : sud
Re: les pointes médiévales
merci beaucoup Gwendoleen,
certains seront bien intéressés (même si d'ailleurs la place est quelque vide en ce moment...), je me suis penché sur la question, car tout cela devrait être l'intro de l'ouvrage, car la plupart des préhistoriens étudient juste la pointe en pierre, et s'arrêtent là ! Pour moi, ce n'est pas le cas, l'armature de la flèche n'est qu'une partie d'un tout.
Mais, euh, euh, je parlais en fait de TES flèches perso, savoir si tu avais eu l'occasion de peser les pointes avant de les fixer, puis de peser tout l'ensemble, pour faire des tableaux de comparaison ? Sans compter, comme le proposait Daniel, que l'on peut aller plus loin, et peser séparément chaque matériau utilisé (plume, tendon, colle). Ce qu'il faudrait, c'est essayer de savoir à quelle flèche finie pouvait appartenir une pointe en silex, en fonction de la puissance des arcs, de l'essence utilisée, et de la longueur connue des flèches.
certains seront bien intéressés (même si d'ailleurs la place est quelque vide en ce moment...), je me suis penché sur la question, car tout cela devrait être l'intro de l'ouvrage, car la plupart des préhistoriens étudient juste la pointe en pierre, et s'arrêtent là ! Pour moi, ce n'est pas le cas, l'armature de la flèche n'est qu'une partie d'un tout.
Mais, euh, euh, je parlais en fait de TES flèches perso, savoir si tu avais eu l'occasion de peser les pointes avant de les fixer, puis de peser tout l'ensemble, pour faire des tableaux de comparaison ? Sans compter, comme le proposait Daniel, que l'on peut aller plus loin, et peser séparément chaque matériau utilisé (plume, tendon, colle). Ce qu'il faudrait, c'est essayer de savoir à quelle flèche finie pouvait appartenir une pointe en silex, en fonction de la puissance des arcs, de l'essence utilisée, et de la longueur connue des flèches.
Re: les pointes médiévales
oui j'ai compris que tu parle de mes flèches mais comme mes flèches ne font pas toute le même poids difficile de te dire avec précision d'où mon explication au dessus.le poids de la flèche dépend du bois que tu utilise.j'ai des flèches qui peuvent faire entre 23/25 gr comme d'autre entre 33/34gr Normalement le poids de la pointe est toujours la même en fonction de celle que tu met.C'est principalement le spin qui est important il est très difficile de faire une flèche avec un bon spin et de poids égal.
Gwendoleen- Messages : 10
Date d'inscription : 19/11/2010
Localisation : sud
Re: les pointes médiévales
"mais comme mes flèches ne font pas toute le même poids difficile de te dire avec précision"
euh ben si, avec une balance électronique, comme je le fais pour les armatures en silex lorraines. Mais ce qui me manque, c'est le reste, et c'est cela qui serait intéressant. Il faudrait faire des reconstitutions et chasser avec, mais là il faut voir avec Daniel, s'il se manifeste encore... et puis avoir envie de casser des belles pointes en silex aussi
euh ben si, avec une balance électronique, comme je le fais pour les armatures en silex lorraines. Mais ce qui me manque, c'est le reste, et c'est cela qui serait intéressant. Il faudrait faire des reconstitutions et chasser avec, mais là il faut voir avec Daniel, s'il se manifeste encore... et puis avoir envie de casser des belles pointes en silex aussi
Re: les pointes médiévales
j'ai pas de balance électronique.
Mais la je doit en faire pour l'atelier j'irais chez la voisine pour qu'elle me prête sa balance et la je pourrais exactement te répondre.
dis moi exactement car une flèche ce fait en 5 étapes a savoir.
*1 fut avec encoche bois
*fut avec encoche bois et plume coq
*fut avec encoche bois plume coq et plumes poules
*fut avec encoche bois plume coq et plumes poules et taille de la pointe
*fut avec encoche bois plume coq et plumes poules et pointe méd
veux tu que je pèse la flèche a chaque étape??
Mais la je doit en faire pour l'atelier j'irais chez la voisine pour qu'elle me prête sa balance et la je pourrais exactement te répondre.
dis moi exactement car une flèche ce fait en 5 étapes a savoir.
*1 fut avec encoche bois
*fut avec encoche bois et plume coq
*fut avec encoche bois plume coq et plumes poules
*fut avec encoche bois plume coq et plumes poules et taille de la pointe
*fut avec encoche bois plume coq et plumes poules et pointe méd
veux tu que je pèse la flèche a chaque étape??
Gwendoleen- Messages : 10
Date d'inscription : 19/11/2010
Localisation : sud
Re: les pointes médiévales
merci beaucoup pour ta proposition d'aide. En fait, tout ne doit pas être nécessaire, seulement peser d'un côté la pointe, et de l'autre le restant de la flèche tout prête (donc fût avec encoche bois plume coq et plumes poules et taille de la pointe).
Mais je demandais cela à tout hasard, si tu avais déjà des mesures sous le coude, ne t'embêtes pas à le faire exprès, sauf si tu peux y trouver un intérêt.
Mais je demandais cela à tout hasard, si tu avais déjà des mesures sous le coude, ne t'embêtes pas à le faire exprès, sauf si tu peux y trouver un intérêt.
Re: les pointes médiévales
cela ne m 'embête pas du tout a vrai dire je ni avais jamais pensée tout est intérêt suis curieuse de nature et comme je te l'est dit je dois en faire pour mon atelier donc d'une pierre 2 coups
Gwendoleen- Messages : 10
Date d'inscription : 19/11/2010
Localisation : sud
Re: les pointes médiévales
Bonjour Gwendoleen,
au fait j'ai repensé qu'il faut 3 mesures : la pointe, le reste de la hampe, mais c'est vrai qu'il faut aussi peser la flèche terminée, car il y a eu rajout de colle, lien... pour joindre la pointe.
Encore merci beaucoup et à bientôt.
Hervé
au fait j'ai repensé qu'il faut 3 mesures : la pointe, le reste de la hampe, mais c'est vrai qu'il faut aussi peser la flèche terminée, car il y a eu rajout de colle, lien... pour joindre la pointe.
Encore merci beaucoup et à bientôt.
Hervé
Re: les pointes médiévales
Bonjour,
oki sans souci je te fais ca.
A bientôt.
oki sans souci je te fais ca.
A bientôt.
Gwendoleen- Messages : 10
Date d'inscription : 19/11/2010
Localisation : sud
Sujets similaires
» LES POINTES D’ISTURITZ SONT-ELLES TOUTES DES POINTES DE PROJECTILE ?
» L'"Azilien" et les cultures à pointes à dos courbe : esquisse géographique et chronologique
» The Role of Leaf Points (pointes foliacées) in the Late Middle Palaeolithic of Germany
» L'"Azilien" et les cultures à pointes à dos courbe : esquisse géographique et chronologique
» The Role of Leaf Points (pointes foliacées) in the Late Middle Palaeolithic of Germany
La préhistoire en Lorraine :: Archéologie expérimentale :: Chasse, pêche, nature et cueillette :: Arcs et flèches
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Dim 15 Sep 2024 - 19:18 par Sapiens88
» Animals in Mesolithic Burials in Europe
Dim 28 Mar 2021 - 13:16 par Sapiens88
» Les objets de parure associés au dépôt funéraire mésolithique de Große Ofnet : implications pour la compréhension de l’organisation sociale des dernières sociétés de chasseurs-cueilleurs du Jura Souabe
Dim 28 Mar 2021 - 13:10 par Sapiens88
» Les grands mammifères de la couche 5 de Mutzig I (Bas-Rhin). La subsistance au Paléolithique moyen en Alsace
Dim 28 Mar 2021 - 12:58 par Sapiens88
» Aspects of faunal exploitation in the Middle Palaeolithic : evidence from Wallertheim (Rheinhessen, Germany)
Dim 28 Mar 2021 - 12:41 par Sapiens88
» Middle Paleolithic subsistence in the central Rhine Valley
Dim 28 Mar 2021 - 12:33 par Sapiens88
» Broadening and diversification of hunted resources, from the Late Palaeolithic to the Late Mesolithic, in the North and East of France and the bordering areas
Dim 28 Mar 2021 - 12:26 par Sapiens88
» Les boules de loess d’Achenheim et les "Lihtte Mirr". Essai de paléo-ethnographie comparée
Dim 25 Aoû 2019 - 10:28 par Sapiens88
» Les galets tronqués à base plane des lœss de la terrasse de Hangenbieten
Dim 25 Aoû 2019 - 9:57 par Sapiens88
» Néolithique "initial"', néolithique ancien et néolithisation dans l'espace centre-européen : une vision rénovée
Sam 17 Aoû 2019 - 20:06 par Sapiens88