comment attirer les oiseaux
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La préhistoire en Lorraine :: Palabres autour du feu :: La Préhistoire sur le Web :: dans le reste de l'Europe
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comment attirer les oiseaux
Des coquillages symboliques chez les Néandertaliens
Coquillages perforés et colorés par des pigments témoigneraient de l’émergence d’une culture symbolique chez l’homme de Neandertal, longtemps considéré comme un cousin mal dégrossi.
La découverte de coquillages perforés et de traces de pigments sur un site occupé par des Néandertaliens dans le sud-est de l’Espagne, montrerait que ces anciens homininés utilisaient des ornements, bijoux et peut-être maquillage. Un usage symbolique associé à l’apparition des premières cultures humaines.
Différents bivalves –bucardes, spondyle, amandes, coquilles Saint-Jacques…- ont été mis au jour dans deux grottes de la province de Murcie, la Cueva de Aviones et la Cueva Antón, la première située à moins de 7 kilomètres de la mer (à l’époque de son utilisation), la seconde à 60 km à l’intérieur des terres. Datées d’il y a 50.000 ans (Paléolithique), soit environ 10.000 ans avant que l’homme moderne Homo sapiens s’installe en Europe, ces grottes -et ce qui s’y trouve- peuvent être attribuées sans ambigüité aux Néandertaliens, soulignent les chercheurs qui ont mené ces fouilles.
Dans la Cueva Antón, l’anthropologue João Zilhão (Université de Bristol, GB) et ses collègues français, espagnols ou italiens, ont notamment découvert une coquille Saint-Jacques portant la trace d’une perforation et d’une coloration rouge (mélange d’hématite et de goethite (les analyses des pigments ont été réalisées par spectroscopie).
Des coquilles de bucardes perforées au sommet (umbo) ou des coquilles de spondyles portant les traces de pigments ainsi que des échantillons de pigments jaunes (jarosite, sidérite) ou rouge (hématite, goethite) ont été découverts. Les pigments ne proviennent pas de l’environnement naturel de la grotte, précisent les chercheurs dans leur article publié par les Proceedings of the National Academy of Sciences, mais sont sans doute originaires du site de La Unión, éloigné de 3 à 5 km de la Cueva de los Aviones, exploité dès l’Antiquité pour l’argent, l’or et divers métaux.
Même si les coquilles de bucardes ont pu être naturellement perforées, leur présence dans ces grottes démontre qu’elles ont sélectionnées pour un usage symbolique, soulignent les chercheurs. Ils rapprochent cette découverte de celles des petits Nassarius d’Afrique du Nord, utilisés il y a 80.000 ans pour fabriquer des parures.
En France, les traces de culture néandertaliennes du Châtelperronien (de 35 000 à 30 000 ans avant notre ère) se mêlent à celles de l’occupation par Homo sapiens, brouillant les pistes. Les coquillages et les pigments de Murcie démontreraient que l’homme de Neandertal n’est pas qu’un imitateur et que la culture n’a pas attendu les premiers hommes modernes de l’Aurignacien pour émerger.
Cécile Dumas
Sciences-et-Avenir.com
11/01/10
Coquillages perforés et colorés par des pigments témoigneraient de l’émergence d’une culture symbolique chez l’homme de Neandertal, longtemps considéré comme un cousin mal dégrossi.
La découverte de coquillages perforés et de traces de pigments sur un site occupé par des Néandertaliens dans le sud-est de l’Espagne, montrerait que ces anciens homininés utilisaient des ornements, bijoux et peut-être maquillage. Un usage symbolique associé à l’apparition des premières cultures humaines.
Différents bivalves –bucardes, spondyle, amandes, coquilles Saint-Jacques…- ont été mis au jour dans deux grottes de la province de Murcie, la Cueva de Aviones et la Cueva Antón, la première située à moins de 7 kilomètres de la mer (à l’époque de son utilisation), la seconde à 60 km à l’intérieur des terres. Datées d’il y a 50.000 ans (Paléolithique), soit environ 10.000 ans avant que l’homme moderne Homo sapiens s’installe en Europe, ces grottes -et ce qui s’y trouve- peuvent être attribuées sans ambigüité aux Néandertaliens, soulignent les chercheurs qui ont mené ces fouilles.
Dans la Cueva Antón, l’anthropologue João Zilhão (Université de Bristol, GB) et ses collègues français, espagnols ou italiens, ont notamment découvert une coquille Saint-Jacques portant la trace d’une perforation et d’une coloration rouge (mélange d’hématite et de goethite (les analyses des pigments ont été réalisées par spectroscopie).
Des coquilles de bucardes perforées au sommet (umbo) ou des coquilles de spondyles portant les traces de pigments ainsi que des échantillons de pigments jaunes (jarosite, sidérite) ou rouge (hématite, goethite) ont été découverts. Les pigments ne proviennent pas de l’environnement naturel de la grotte, précisent les chercheurs dans leur article publié par les Proceedings of the National Academy of Sciences, mais sont sans doute originaires du site de La Unión, éloigné de 3 à 5 km de la Cueva de los Aviones, exploité dès l’Antiquité pour l’argent, l’or et divers métaux.
Même si les coquilles de bucardes ont pu être naturellement perforées, leur présence dans ces grottes démontre qu’elles ont sélectionnées pour un usage symbolique, soulignent les chercheurs. Ils rapprochent cette découverte de celles des petits Nassarius d’Afrique du Nord, utilisés il y a 80.000 ans pour fabriquer des parures.
En France, les traces de culture néandertaliennes du Châtelperronien (de 35 000 à 30 000 ans avant notre ère) se mêlent à celles de l’occupation par Homo sapiens, brouillant les pistes. Les coquillages et les pigments de Murcie démontreraient que l’homme de Neandertal n’est pas qu’un imitateur et que la culture n’a pas attendu les premiers hommes modernes de l’Aurignacien pour émerger.
Cécile Dumas
Sciences-et-Avenir.com
11/01/10
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
L’homme des glaces, vieux de 5000 ans, était prédisposé aux maladies cardiovasculaires et souffrait peut-être déjà d’artériosclérose.
La momie d’Ötzi photographiée en 2000 au musée de Bolzano, en Italie, alors qu’un chercheur prépare des prélèvements d’échantillons. (AP /Augustin Ochsenreiter, S.Tyrol Museum of Archaeology/Sipa)
La momie d’Ötzi photographiée en 2000 au musée de Bolzano, en Italie, alors qu’un chercheur prépare des prélèvements d’échantillons. (AP /Augustin Ochsenreiter, S.Tyrol Museum of Archaeology/Sipa)
Mots-clés : Ötzi, momie, génétique, Archéo & paléo
Ötzi, la momie de cet homme d'environ 45 ans, vieille de 5000 ans retrouvée en 1991 dans les montagnes entre l’Italie et l’Autriche, était génétiquement prédisposé aux maladies cardiovasculaires révèle une étude de l'université de Tübingen. Pourtant, il n’a pas été exposé aux facteurs de risques communément associés aux troubles cardiaques : surpoids, sédentarité ou déséquilibre alimentaire.
« La preuve que cette prédisposition génétique existait déjà dans la vie Ötzi est d'un intérêt énorme pour nous. Cela indique que les maladies cardiovasculaires ne sont pas principalement associées aux modes de vie modernes. Nous sommes maintenant impatients d'utiliser ces données pour nous aider à comprendre comment ces maladies se sont développées », explique l'anthropologue Albert Zink dans la revue Nature Communications.
En dehors de cette prédisposition génétique, les scientifiques ont pu identifier des traces de bactéries du genre Borrelia, responsables de la maladie de Lyme et transmises par les tiques. C’est la plus ancienne trace d’infection par cette bactérie.
Ils ont également confirmé qu’il appartenait à une lignée qui s’est éteinte ou qui est trop rare pour avoir été repérée dans la population européenne continentale. On en trouve encore des traces dans des zones géographiquement isolées et des îles comme la Sardaigne et la Corse. Il avait les yeux et les cheveux bruns, était du groupe sanguin 0 et souffrait d’intolérance au lactose, une incapacité à digérer le sucre du lait à l’âge adulte.
Sciences et Avenir.fr
29/02/2012
La momie d’Ötzi photographiée en 2000 au musée de Bolzano, en Italie, alors qu’un chercheur prépare des prélèvements d’échantillons. (AP /Augustin Ochsenreiter, S.Tyrol Museum of Archaeology/Sipa)
La momie d’Ötzi photographiée en 2000 au musée de Bolzano, en Italie, alors qu’un chercheur prépare des prélèvements d’échantillons. (AP /Augustin Ochsenreiter, S.Tyrol Museum of Archaeology/Sipa)
Mots-clés : Ötzi, momie, génétique, Archéo & paléo
Ötzi, la momie de cet homme d'environ 45 ans, vieille de 5000 ans retrouvée en 1991 dans les montagnes entre l’Italie et l’Autriche, était génétiquement prédisposé aux maladies cardiovasculaires révèle une étude de l'université de Tübingen. Pourtant, il n’a pas été exposé aux facteurs de risques communément associés aux troubles cardiaques : surpoids, sédentarité ou déséquilibre alimentaire.
« La preuve que cette prédisposition génétique existait déjà dans la vie Ötzi est d'un intérêt énorme pour nous. Cela indique que les maladies cardiovasculaires ne sont pas principalement associées aux modes de vie modernes. Nous sommes maintenant impatients d'utiliser ces données pour nous aider à comprendre comment ces maladies se sont développées », explique l'anthropologue Albert Zink dans la revue Nature Communications.
En dehors de cette prédisposition génétique, les scientifiques ont pu identifier des traces de bactéries du genre Borrelia, responsables de la maladie de Lyme et transmises par les tiques. C’est la plus ancienne trace d’infection par cette bactérie.
Ils ont également confirmé qu’il appartenait à une lignée qui s’est éteinte ou qui est trop rare pour avoir été repérée dans la population européenne continentale. On en trouve encore des traces dans des zones géographiquement isolées et des îles comme la Sardaigne et la Corse. Il avait les yeux et les cheveux bruns, était du groupe sanguin 0 et souffrait d’intolérance au lactose, une incapacité à digérer le sucre du lait à l’âge adulte.
Sciences et Avenir.fr
29/02/2012
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
Une nouvelle étude génétique indique que la plupart des hommes de Neandertal sont morts il y a environ 50.000 ans, soit au moins 10 000 ans avant la date supposée de leur disparition.
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Un petit groupe a repeuplé l'Europe
Cette nouvelle perspective sur le sort des Néandertaliens provient d'une étude génétique, publiée dans la revue Molecular Biology and Evolution. Les résultats indiquent que la plupart des hommes de Neandertal ont disparu en Europe il y a 50.000 ans. Après cela, un petit groupe de Néandertaliens a recolonisé l’Europe centrale et occidentale, où ils ont survécu pendant encore 10.000 ans avant que les humains modernes n’entrent en scène. A moins que les Sapiens ne soient arrivés plus tôt en Europe, une hypothèse qui a pris du corps depuis la publication de deux études l'année dernière dans Nature.
Les chercheurs ont noté que la variation génétique entre les Néandertaliens européens a été très limitée au cours des dix mille dernières années avant leur disparition. Les vieux fossiles néandertaliens d’Europe, ainsi que des fossiles en provenance d'Asie, présentent beaucoup plus de variation génétique. Cela prouve, selon les auteurs de l’étude, que les populations Néandertaliennes étaient particulièrement réduites dans les derniers 10 000 ans.
Une disparition qui suscite toujours des débats
Ces résultats présentés dans le cadre d'un projet international dirigé par des chercheurs suédois et espagnol sont entièrement fondés sur de l'ADN fortement dégradé, ils ont donc été vérifiés plusieurs fois. « Ce type d'étude interdisciplinaire est extrêmement précieux dans la promotion de la recherche au sujet de notre histoire évolutive. L'ADN de populations préhistoriques a conduit à un certain nombre de conclusions inattendues ces dernières années » explique Juan Luis Arsuaga, professeur de paléontologie humaine à l'Université de Madrid.
Les causes de la disparition des hommes de l'Homme de Néandertal demeurent cependant toujours discutées. Plusieurs questions font régulièrement l’objet de débats par publications scientifiques interposées : les changements climatiques de la dernière période glaciaire ont-ils eu raison des hommes de Neandertal? Les Homo sapiens ont-il provoqué la fin des Néandertaliens ? Rien n'est tranché.
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Un petit groupe a repeuplé l'Europe
Cette nouvelle perspective sur le sort des Néandertaliens provient d'une étude génétique, publiée dans la revue Molecular Biology and Evolution. Les résultats indiquent que la plupart des hommes de Neandertal ont disparu en Europe il y a 50.000 ans. Après cela, un petit groupe de Néandertaliens a recolonisé l’Europe centrale et occidentale, où ils ont survécu pendant encore 10.000 ans avant que les humains modernes n’entrent en scène. A moins que les Sapiens ne soient arrivés plus tôt en Europe, une hypothèse qui a pris du corps depuis la publication de deux études l'année dernière dans Nature.
Les chercheurs ont noté que la variation génétique entre les Néandertaliens européens a été très limitée au cours des dix mille dernières années avant leur disparition. Les vieux fossiles néandertaliens d’Europe, ainsi que des fossiles en provenance d'Asie, présentent beaucoup plus de variation génétique. Cela prouve, selon les auteurs de l’étude, que les populations Néandertaliennes étaient particulièrement réduites dans les derniers 10 000 ans.
Une disparition qui suscite toujours des débats
Ces résultats présentés dans le cadre d'un projet international dirigé par des chercheurs suédois et espagnol sont entièrement fondés sur de l'ADN fortement dégradé, ils ont donc été vérifiés plusieurs fois. « Ce type d'étude interdisciplinaire est extrêmement précieux dans la promotion de la recherche au sujet de notre histoire évolutive. L'ADN de populations préhistoriques a conduit à un certain nombre de conclusions inattendues ces dernières années » explique Juan Luis Arsuaga, professeur de paléontologie humaine à l'Université de Madrid.
Les causes de la disparition des hommes de l'Homme de Néandertal demeurent cependant toujours discutées. Plusieurs questions font régulièrement l’objet de débats par publications scientifiques interposées : les changements climatiques de la dernière période glaciaire ont-ils eu raison des hommes de Neandertal? Les Homo sapiens ont-il provoqué la fin des Néandertaliens ? Rien n'est tranché.
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
Neandertal: un chasseur-pêcheur complet
La pratique de la chasse de petits gibiers et de la pêche par l’homme de Neandertal remonte à au moins 250 000 ans, révèlent de nouvelles fouilles.
Outil de pierre de Payre utilisé sur poisson A) Poli de contact en écaillant du poisson B) Fragment d'une écaille de poisson © Bruce Hardy / Kenyon College
Mots-clés : Neandertal, fossiles, chasse, Paléolithique, Archéo & paléo
Les travaux effectués dans la grotte de Payre, en Ardèche, durant plus de dix ans (le site était en partie effondré), ont permis de mettre au jour plusieurs niveaux d’occupation du Paléolithique moyen (entre - 250.000 et - 125.000 ans).
Les fouilles y ont révélé de nombreux vestiges : outils en pierre de silex, des restes osseux d’ongulés (bovidés, cervidés, équidés) portant des traces de découpe caractéristiques d’un travail de boucherie. Les paléontologues, dont Marie-Hélène Moncel du Muséum d’Histoire Naturelle (Paris), ont étudié de très près ces outils de pierre avec une technique appelée tracéologie: elle consiste à déterminer leurs fonctions en étudiant les traces produites (polis et stigmates d’usure) lors de leur utilisation. Ils ont également pu analyser des résidus variés découverts à la surface et dans le creux des outils.
Les résultats, publiés dans la revue PLoS One, indiquent que certains bords d’outils ont servi à une activité de boucherie mais également au tannage des peaux. D’autres outils mettent en évidence le travail du bois. Mais la découverte la plus spectaculaire est sans doute celle de la présence de résidus de plumes, d’arêtes de poissons, et d’amidon témoignant de la découpe d’oiseaux, de pêche et de la consommation de féculents.
En effet, jusqu’à présent, les paléontologues estimaient que les hommes de Neandertal étaient incapables de chasser les petits gibiers comme les oiseaux ou les poissons. Sans doute parce que les restes d’oiseaux ou de poissons sont plus fragiles et ne laissent pas de traces archéologiques. Seules ces nouvelles techniques ont pu démontrer leur consommation. La capture de petites proies est souvent considérée comme la preuve d’une supériorité de l’Homme moderne.
Cette étude montre au contraire que les hommes de Neandertal étaient capables de s’adapter à leur environnement immédiat et de consommer une large gamme de gibiers ou de poissons.
La pratique de la chasse de petits gibiers et de la pêche par l’homme de Neandertal remonte à au moins 250 000 ans, révèlent de nouvelles fouilles.
Outil de pierre de Payre utilisé sur poisson A) Poli de contact en écaillant du poisson B) Fragment d'une écaille de poisson © Bruce Hardy / Kenyon College
Mots-clés : Neandertal, fossiles, chasse, Paléolithique, Archéo & paléo
Les travaux effectués dans la grotte de Payre, en Ardèche, durant plus de dix ans (le site était en partie effondré), ont permis de mettre au jour plusieurs niveaux d’occupation du Paléolithique moyen (entre - 250.000 et - 125.000 ans).
Les fouilles y ont révélé de nombreux vestiges : outils en pierre de silex, des restes osseux d’ongulés (bovidés, cervidés, équidés) portant des traces de découpe caractéristiques d’un travail de boucherie. Les paléontologues, dont Marie-Hélène Moncel du Muséum d’Histoire Naturelle (Paris), ont étudié de très près ces outils de pierre avec une technique appelée tracéologie: elle consiste à déterminer leurs fonctions en étudiant les traces produites (polis et stigmates d’usure) lors de leur utilisation. Ils ont également pu analyser des résidus variés découverts à la surface et dans le creux des outils.
Les résultats, publiés dans la revue PLoS One, indiquent que certains bords d’outils ont servi à une activité de boucherie mais également au tannage des peaux. D’autres outils mettent en évidence le travail du bois. Mais la découverte la plus spectaculaire est sans doute celle de la présence de résidus de plumes, d’arêtes de poissons, et d’amidon témoignant de la découpe d’oiseaux, de pêche et de la consommation de féculents.
En effet, jusqu’à présent, les paléontologues estimaient que les hommes de Neandertal étaient incapables de chasser les petits gibiers comme les oiseaux ou les poissons. Sans doute parce que les restes d’oiseaux ou de poissons sont plus fragiles et ne laissent pas de traces archéologiques. Seules ces nouvelles techniques ont pu démontrer leur consommation. La capture de petites proies est souvent considérée comme la preuve d’une supériorité de l’Homme moderne.
Cette étude montre au contraire que les hommes de Neandertal étaient capables de s’adapter à leur environnement immédiat et de consommer une large gamme de gibiers ou de poissons.
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
Neandertal d’un peu plus près
La totalité de l’ADN mitochondrial (ADNmt) d’un Homme de Neandertal est désormais séquencé. Contemporains des Hommes modernes, rien ne prouve cependant qu’ils fassent partie de nos ancêtres. Il apparaît qu’à cette époque, les populations de Néandertaliens étaient déjà sur le déclin.
C’est l’équipe de l’Institut Max Planck en Allemagne qui a réussi le premier séquençage complet de l’ADN mitochondrial d’un spécimen d’Homme de Neandertal ayant vécu il y a 38 000 ans. L’ADN mitochondrial est un ADN transmis de mères en filles, réputé plus stable chez les vertébrés que l’ADN nucléaire (dans le noyau) car il ne subit quasiment pas de recombinaisons. Il est par conséquent très étudié en paléoanthropologie car il permet de reconstruire facilement les lignées humaines. La divergence des lignées peut être datée grâce au principe de « l’horloge moléculaire » où le nombre de changements (=de mutations) de l’ADN est proportionnel au temps.
Tout d’abord, le séquençage vient confirmer de manière sûre que le dernier ancêtre commun des Hommes de Neandertal et des Hommes modernes (Homo sapiens) aurait vécu il y a 660 000 ans (à 140 000 ans près). A partir de cette scission et bien que contemporaines, les deux lignées auraient évolué indépendamment car les séquences de l’ADNm de ce Néandertalien sont trop différentes des nôtres pour prouver une quelconque hybridation. Par ailleurs, les scientifiques ont remarqué que les mutations prejuidiciables étaient relativement conservées dans cet ADN, ce qui suggère un faible brassage génétique. En d’autres termes, il y a 40 000 ans, soit 10 000 ans avant leur disparition, le nombre d’Hommes de Neandertal peuplant l’Europe était déjà réduit à environ quelques centaines d’individus seulement.
Le séquençage complet de l’ADN nucléaire de ce spécimen d’Homme de Neandertal (soit 3 milliards de paires de bases contre 16 569 pour l’ADNmt) devrait être achevé d’ici quelques mois : les résultats permettront de clore définitivement le débat sur le métissage des 2 lignées.
La totalité de l’ADN mitochondrial (ADNmt) d’un Homme de Neandertal est désormais séquencé. Contemporains des Hommes modernes, rien ne prouve cependant qu’ils fassent partie de nos ancêtres. Il apparaît qu’à cette époque, les populations de Néandertaliens étaient déjà sur le déclin.
C’est l’équipe de l’Institut Max Planck en Allemagne qui a réussi le premier séquençage complet de l’ADN mitochondrial d’un spécimen d’Homme de Neandertal ayant vécu il y a 38 000 ans. L’ADN mitochondrial est un ADN transmis de mères en filles, réputé plus stable chez les vertébrés que l’ADN nucléaire (dans le noyau) car il ne subit quasiment pas de recombinaisons. Il est par conséquent très étudié en paléoanthropologie car il permet de reconstruire facilement les lignées humaines. La divergence des lignées peut être datée grâce au principe de « l’horloge moléculaire » où le nombre de changements (=de mutations) de l’ADN est proportionnel au temps.
Tout d’abord, le séquençage vient confirmer de manière sûre que le dernier ancêtre commun des Hommes de Neandertal et des Hommes modernes (Homo sapiens) aurait vécu il y a 660 000 ans (à 140 000 ans près). A partir de cette scission et bien que contemporaines, les deux lignées auraient évolué indépendamment car les séquences de l’ADNm de ce Néandertalien sont trop différentes des nôtres pour prouver une quelconque hybridation. Par ailleurs, les scientifiques ont remarqué que les mutations prejuidiciables étaient relativement conservées dans cet ADN, ce qui suggère un faible brassage génétique. En d’autres termes, il y a 40 000 ans, soit 10 000 ans avant leur disparition, le nombre d’Hommes de Neandertal peuplant l’Europe était déjà réduit à environ quelques centaines d’individus seulement.
Le séquençage complet de l’ADN nucléaire de ce spécimen d’Homme de Neandertal (soit 3 milliards de paires de bases contre 16 569 pour l’ADNmt) devrait être achevé d’ici quelques mois : les résultats permettront de clore définitivement le débat sur le métissage des 2 lignées.
Invité- Invité
et enfin la mailleure pour la fin
Neandertal victime d’une variante de la vache folle ?
Selon une nouvelle théorie, l’Homme de Néandertal aurait disparu à cause d’une maladie proche de l’encéphalopathie spongiforme bovine, qu’il aurait contractée en pratiquant le cannibalisme.
Dans la province pakistanaise du Sindh. Un mois après les pluies torrentielles qui ont ravagé le pays, le niveau des eaux commence à baisser lentement à travers le pays, même si les sinistrés sont toujours vulnérables face aux maladies et à la malnutrition. /Photo prise le 29 août 2010/REUTERS/Athar Hussain (c) Reuters
Les causes de la disparition des hommes de Neandertal, il y a 30.000 ans environ, demeurent inexpliquées. Plusieurs questions font régulièrement l’objet de débats par publications scientifiques interposées : les changements climatiques de la dernière période glaciaire ont-ils eu raison des hommes de Neandertal ? Les Homo sapiens ont-il provoqué la fin des Néandertaliens ? Les deux espèces se sont-elles rencontrées, métissées ?
Une nouvelle hypothèse explique le sort de Neandertal par une épidémie d’encéphalopathie spongiforme, une pathologie semblable à la maladie de la vache folle qui a sévi il y a quelques années en Angleterre et dans une moindre mesure en France. Comment Simon Underdown, de l’Université d’Oxford, en est-il arrivé a publier cette théorie dans le journal Medical Hypotheses ?
Il a en fait travaillé sur la seule épidémie humaine connue d'une maladie à prions (l’agent causal de la vache folle), le Kuru, qui affecta entre 1900 et 1958 les papous Fore des montagnes du sud de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Ces derniers pratiquaient des rituels funéraires, interdits depuis, incluant le cannibalisme et ont été massivement atteints par le Kuru qui cause encore des décès aujourd’hui, après plus de 50 ans d’incubation.
Néandertal avait, semble-t-il, des pratiques similaires. Des restes de squelettes néandertaliens datant de 100 000 à 120 000 ans exhumés dans la baume de Moula-Guercy, en Ardèche, portaient effectivement des traces évoquant le cannibalisme. Du coup, l’hypothèse d’une maladie à prions ainsi transmise prend forme.Le chercheur a ensuite mené des investigations pour savoir si la propagation d’une encéphalite infectieuse pouvait réellement créer des ravages au point de faire disparaître de la surface de la terre toute une espèce. Il a calculé qu’une population de 15 000 âmes pouvait être réduite à néant en 250 ans. Il précise par ailleurs que le cannibalisme a pu ne pas être le seul mode de contamination possible, le prion étant capable de survivre sur des instruments chirurgicaux stérilisés, il a donc également pu se propager par l’intermédiaire des outils de pierre.
Cette théorie est donc une des explications possibles à la mystérieuse disparition de Néandertal. Pour qu’elle prenne plus d’étoffe il faudrait avoir la preuve génétique que Néandertal était bien
Selon une nouvelle théorie, l’Homme de Néandertal aurait disparu à cause d’une maladie proche de l’encéphalopathie spongiforme bovine, qu’il aurait contractée en pratiquant le cannibalisme.
Dans la province pakistanaise du Sindh. Un mois après les pluies torrentielles qui ont ravagé le pays, le niveau des eaux commence à baisser lentement à travers le pays, même si les sinistrés sont toujours vulnérables face aux maladies et à la malnutrition. /Photo prise le 29 août 2010/REUTERS/Athar Hussain (c) Reuters
Les causes de la disparition des hommes de Neandertal, il y a 30.000 ans environ, demeurent inexpliquées. Plusieurs questions font régulièrement l’objet de débats par publications scientifiques interposées : les changements climatiques de la dernière période glaciaire ont-ils eu raison des hommes de Neandertal ? Les Homo sapiens ont-il provoqué la fin des Néandertaliens ? Les deux espèces se sont-elles rencontrées, métissées ?
Une nouvelle hypothèse explique le sort de Neandertal par une épidémie d’encéphalopathie spongiforme, une pathologie semblable à la maladie de la vache folle qui a sévi il y a quelques années en Angleterre et dans une moindre mesure en France. Comment Simon Underdown, de l’Université d’Oxford, en est-il arrivé a publier cette théorie dans le journal Medical Hypotheses ?
Il a en fait travaillé sur la seule épidémie humaine connue d'une maladie à prions (l’agent causal de la vache folle), le Kuru, qui affecta entre 1900 et 1958 les papous Fore des montagnes du sud de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Ces derniers pratiquaient des rituels funéraires, interdits depuis, incluant le cannibalisme et ont été massivement atteints par le Kuru qui cause encore des décès aujourd’hui, après plus de 50 ans d’incubation.
Néandertal avait, semble-t-il, des pratiques similaires. Des restes de squelettes néandertaliens datant de 100 000 à 120 000 ans exhumés dans la baume de Moula-Guercy, en Ardèche, portaient effectivement des traces évoquant le cannibalisme. Du coup, l’hypothèse d’une maladie à prions ainsi transmise prend forme.Le chercheur a ensuite mené des investigations pour savoir si la propagation d’une encéphalite infectieuse pouvait réellement créer des ravages au point de faire disparaître de la surface de la terre toute une espèce. Il a calculé qu’une population de 15 000 âmes pouvait être réduite à néant en 250 ans. Il précise par ailleurs que le cannibalisme a pu ne pas être le seul mode de contamination possible, le prion étant capable de survivre sur des instruments chirurgicaux stérilisés, il a donc également pu se propager par l’intermédiaire des outils de pierre.
Cette théorie est donc une des explications possibles à la mystérieuse disparition de Néandertal. Pour qu’elle prenne plus d’étoffe il faudrait avoir la preuve génétique que Néandertal était bien
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
eh ben voilà, merci les articles de synthèse : ton post de 19h39 nous affirme que les Néandertaliens ont disparu il y a environ 50 000 ans, et celui de 19h43 nous apprend que l’Institut Max Planck a réussi un séquençage de l’ADN d'un Néandertalien ayant vécu il y a 38 000 ans.
ça n'a pas dû^être facile de séquencer un type disparu depui 12 000 ans
Bon sinon, pour les oiseaux......
ça n'a pas dû^être facile de séquencer un type disparu depui 12 000 ans
Bon sinon, pour les oiseaux......
Re: comment attirer les oiseaux
oui, y'en a un qui a un oiseau comme avatar, et qui aime bien ce genre d'articles pour se défouler. J'ai noté aussi les contradictions, mais je laisse le plaisir à Neodom de commenter ces passages. Le coup d'un cardiaque qui s'aventure en haute montagne ça me plaît aussi
Invité- Invité
on a trouvé
l'homo sapiens ( enfin ça se discute ) à l'origine de la disparition précipitée des neandertals
Il faut me débarrasser tout ça, a-t'il dit à ses chasseurs
Il faut me débarrasser tout ça, a-t'il dit à ses chasseurs
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
je voyais pas trop le lien non plus avec les oiseaux...
J'ai pas encore tout lu... J'ai juste picoré ici et là
Par contre pour leur co... "histoire" sur la vache folle... C'est vraiment histoire de raconter qqchose...
C'est une maladie qui doit mettre dans les 20ans pour se développer... et vu que la durée de vie n'était pas hyper longue à l'époque... (et vu qu'ils ne mangeaient pas exclusivement que leurs collègues... par contre si c'était le cas, là on tiendrait la raison de leur disparition: ils se sont mangé entre eux... même plus besoin de maladie exotique... )
Soit dit en passant, les papous de Nouvelles Guinées chez qui les premiers cas liés au cannibalisme ont été rencontrés n'ont pas pour autant été décimés par la maladie... donc autant dire que en soit ça ne tient pas debout (et de toute façon c'est invérifiable vu qu'il faudrait avoir un cerveau de Néandertalien pour pouvoir le prouver... ).
Je repasserai piailler sur les autres articles plus tard
J'ai pas encore tout lu... J'ai juste picoré ici et là
Par contre pour leur co... "histoire" sur la vache folle... C'est vraiment histoire de raconter qqchose...
C'est une maladie qui doit mettre dans les 20ans pour se développer... et vu que la durée de vie n'était pas hyper longue à l'époque... (et vu qu'ils ne mangeaient pas exclusivement que leurs collègues... par contre si c'était le cas, là on tiendrait la raison de leur disparition: ils se sont mangé entre eux... même plus besoin de maladie exotique... )
Soit dit en passant, les papous de Nouvelles Guinées chez qui les premiers cas liés au cannibalisme ont été rencontrés n'ont pas pour autant été décimés par la maladie... donc autant dire que en soit ça ne tient pas debout (et de toute façon c'est invérifiable vu qu'il faudrait avoir un cerveau de Néandertalien pour pouvoir le prouver... ).
Je repasserai piailler sur les autres articles plus tard
Dernière édition par neodom34 le Sam 3 Mar 2012 - 21:00, édité 1 fois
neodom34- Messages : 1247
Date d'inscription : 09/09/2010
Re: comment attirer les oiseaux
le pauvre , je ne sais pas s'il survivrait s'il entendait autant de conneries
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
des traces de prions sur les outils... (n'importe quoi...)
(on parlera bientôt de la disparition mystérieuse des prospecteurs
(on parlera bientôt de la disparition mystérieuse des prospecteurs
neodom34- Messages : 1247
Date d'inscription : 09/09/2010
Re: comment attirer les oiseaux
ah oui la fameuse malédiction qui rendrait les prospecteurs fous !
Invité- Invité
une dernière
Confirmado: Ozzy Osbourne es un auténtico Neandertal
Vous l'avez tous compris, l'ancien chanteur de Black Sabbat est un neandertalien authentique . D'ailleurs il s'est fait rebaptiser Ossy Osbone
Pour ceux qui comprennent l'espagnol
http://www.cookingideas.es/confirmado-ozzy-osbourne-es-un-autentico-neandertal-20101025.html
pour les autres on en retiendra
Vous l'avez tous compris, l'ancien chanteur de Black Sabbat est un neandertalien authentique . D'ailleurs il s'est fait rebaptiser Ossy Osbone
Pour ceux qui comprennent l'espagnol
http://www.cookingideas.es/confirmado-ozzy-osbourne-es-un-autentico-neandertal-20101025.html
pour les autres on en retiendra
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
Concernant la disparition des prospecteurs .
C'est vrai , je sens déjà ... que ça commence à me gratter
J'ai dû attraper ceci ... cet après-midi .
Je sens que je vais disparaître ...au lit .
C'est vrai , je sens déjà ... que ça commence à me gratter
J'ai dû attraper ceci ... cet après-midi .
Je sens que je vais disparaître ...au lit .
Dernière édition par Jean-Louis PHILIPPE le Sam 3 Mar 2012 - 22:02, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
tiens en parlant de cela je suis tombé sur
http://www.crypto-investigations.org/t263-des-genes-de-neandertal-dans-l-adn-de-ozzy-osbourne
et sur Philippe Mind qui est indiqué habiter Thionville et non Metz
http://www.crypto-investigations.org/t263-des-genes-de-neandertal-dans-l-adn-de-ozzy-osbourne
et sur Philippe Mind qui est indiqué habiter Thionville et non Metz
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
Ce qui est amusant c'est comment une petite phrase (ses 40ans de boisson) d'Ozzy Osbourne se transforme totalement
faut pas trop prendre au sérieux les tabloïde
Heu, tous les rockeurs des années 70 toujours en vie doivent donc être considéré comme des Néanderthaliens
faut pas trop prendre au sérieux les tabloïde
Heu, tous les rockeurs des années 70 toujours en vie doivent donc être considéré comme des Néanderthaliens
Dernière édition par neodom34 le Sam 3 Mar 2012 - 22:51, édité 1 fois
neodom34- Messages : 1247
Date d'inscription : 09/09/2010
Re: comment attirer les oiseaux
Alors ceux des années 60 , comme moi, ... c'est des australopithèques ?
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
Neodom, j'ai parfois l'impression que tu crois que je marche à fond dans ce genre de news, ce qui est loin d'être le cas. Mais comme je sais que tu marches à fond dans les réactions, je n'allais pas me priver du plaisir , de t'en servir sur un plateau
Je ne saurai jamais quelle ont été les habitudes de mon grand ancêtre, pas plus que je ne peux m'imaginer la vie de mon grand-père
Nous nous reconnaissons un peu en eux pas par l'ADN, mais par notre façon de penser que nous espérons éloigner de la STAR ACADEMY fossillienne et publicitaire dont sont victimes nos ancêtres aujourd'hui . Le Neandertal ce n'est pas seulement le silex ou le quartzite que nous trouvons à nos pieds, mais les sites et le paysage où il a évolué. La seule chose extravagante que l'on peut se demander est imaginer comment il pouvait appeler l'un ou l'autre endroit
Je ne saurai jamais quelle ont été les habitudes de mon grand ancêtre, pas plus que je ne peux m'imaginer la vie de mon grand-père
Nous nous reconnaissons un peu en eux pas par l'ADN, mais par notre façon de penser que nous espérons éloigner de la STAR ACADEMY fossillienne et publicitaire dont sont victimes nos ancêtres aujourd'hui . Le Neandertal ce n'est pas seulement le silex ou le quartzite que nous trouvons à nos pieds, mais les sites et le paysage où il a évolué. La seule chose extravagante que l'on peut se demander est imaginer comment il pouvait appeler l'un ou l'autre endroit
Invité- Invité
Re: comment attirer les oiseaux
tu me demandes de m'indigner, je m'indigne
Cela dit, le truc sur Ozzy Osbourne a été effectivement fait et il y a un article dans Scientific American, néanmoins dans l'article original, l'histoire des gènes néandertaliens est avant tout anecdotique (et il ne faut pas oublier que l'on doit retrouver ces gènes, en différentes proportions chez tous les européens) et qu'aucun rapport n'est établi entre son comportement addictif et ces gènes particuliers.
Ce qui m'amusait c'est que cela se retrouvait sur des sites de cryptozoologie et autres mystères... (alors qu'il n'y a pas vraiment de mystère derrière tout cela...)
Cela dit, le truc sur Ozzy Osbourne a été effectivement fait et il y a un article dans Scientific American, néanmoins dans l'article original, l'histoire des gènes néandertaliens est avant tout anecdotique (et il ne faut pas oublier que l'on doit retrouver ces gènes, en différentes proportions chez tous les européens) et qu'aucun rapport n'est établi entre son comportement addictif et ces gènes particuliers.
Ce qui m'amusait c'est que cela se retrouvait sur des sites de cryptozoologie et autres mystères... (alors qu'il n'y a pas vraiment de mystère derrière tout cela...)
neodom34- Messages : 1247
Date d'inscription : 09/09/2010
Re: comment attirer les oiseaux
ça y est ? soulagé ?
Tiens au fait pendant qu'on racontait des conneries sur les ovnis et autres, y'avait une émission dessus hier soir. J'en ai vu une petite partie, ensuite je suis allé me coucher 1 heure et j'ai scruté toute la nuit le ciel par après
Tiens au fait pendant qu'on racontait des conneries sur les ovnis et autres, y'avait une émission dessus hier soir. J'en ai vu une petite partie, ensuite je suis allé me coucher 1 heure et j'ai scruté toute la nuit le ciel par après
Invité- Invité
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