Les Archéologues en guerre
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Les Archéologues en guerre
Article paru dans LE MONDE d'aujourd'hui .
Les archéologues en guerre
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 23.12.2013 à 16h43 • Mis à jour le 30.12.2013 à 09h17
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Il semble aujourd’hui bien loin le temps où la France détruisait son passé à grands coups de tractopelle à chaque construction de parking ou d’autoroute. Dans les décennies d’après-guerre, l’aménagement du territoire et la mécanisation des travaux ont bien failli avoir raison de deux mille ans de patrimoine. La mise en place d’une législation qui régit l’archéologie dite « préventive » permet désormais aux chercheurs d’intervenir à la manière de pompiers pour documenter ces vestiges. Son financement fait surtout appel à des fonds privés, par le biais d’une redevance appliquée à l’ensemble des travaux et l’obligation faite à l’aménageur de payer les fouilles.
En 2001, une structure a été créée pour répondre à cette mission assumée jusqu’alors par des associations : l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), dont l’activité est complémentaire de l’archéologie « programmée », portée par les universités et le CNRS. L’écho médiatique qui accueille chacune de leurs découvertes peut donner le sentiment d’une communauté unie de professionnels animés par la même passion.
Forza Motorsport 5
La référence absolue des jeux de courses revient exclusivement sur Xbox One avec des graphismes réalistes et des centaines de voitures reproduites à la perfection.
MISE EN CONCURRENCE DES ARCHÉOLOGUES
Or il n’en est rien. Deux ans à peine après la création de l’Inrap, le gouvernement a instauré la mise en concurrence des archéologues. Les retards accusés par l’Institut dans la conduite de ses chantiers, dus en grande partie à l’impossibilité d’accroître ses effectifs, ont pesé dans le vote de députés qui sont aussi des élus locaux et les premiers aménageurs du territoire. A une situation de monopole difficilement tenable, ils ont opposé une logique d’appels d’offres. Le développement des services de collectivité et des sociétés privées a suscité la crainte, légitime, d’un déclin de l’Inrap, de licenciements massifs et d’une baisse drastique de la qualité des fouilles.
Pour éviter ces dérives, l’Etat impose un contrôle très strict des dossiers, et seules sont admises à intervenir des structures composées de chercheurs diplômés. Après des années de défiance à l’égard de ces « nouveaux » archéologues, la situation a fini par se normaliser. Malgré la concurrence commerciale, les collaborations entre chercheurs ont repris. L’évolution est sensible dans nos unités de recherche cogérées par l’Université et le CNRS, où les membres de l’Inrap, des collectivités territoriales et des sociétés privées œuvrent ensemble dans le cadre de projets d’intérêt général.
UNE RÉELLE LÉGITIMITÉ
Quant à la qualité scientifique des rapports de fouille, elle n’a pas varié. Ce qui n’a rien de surprenant, puisqu’ils sont rédigés par des chercheurs issus de la même filière universitaire. Le développement des opérateurs territoriaux et privés a favorisé leur embauche comme stagiaire, contrat à durée déterminée (CDD) puis contrat à durée indéterminée (CDI). Leur travail est constamment évalué par des comités de lecture et d’évaluation de la recherche. Geneviève Fioraso, la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, vient dereconnaître que les agents du privé contribuent autant que les autres au renouvellement des connaissances. Dans le même temps, l’Inrap a acquis une réelle légitimité par la qualité de son travail de recherche et de médiation. De nombreux ouvrages, colloques ou expositions nationales sont à porter à son crédit. Aux côtés du CNRS et de l’Université, il assume de fait un rôle prééminent en matière d’archéologie métropolitaine.
Interpellée par voie de pétition quelques semaines après sa nomination, Aurélie Filippetti, la ministre de la culture, se voit aujourd’hui sommée de réexaminer ce dispositif. Une commission a été mise en place en 2012, chargée de planchersur la rédaction d’un livre blanc qui a été remis au mois de mars. Les débatsmenés sous l’égide d’Aurélie Filippetti par l’ensemble des acteurs, publics et privés, ont débouché sur un projet plutôt consensuel de révision de la loi sur le patrimoine.
ILLUSION D’UN FRONT UNI FACE À UN ENNEMI COMMUN
En dépit de ces avancées, des manifestations récurrentes sont organisées par les syndicats de l’Inrap à chaque apparition de la ministre. Relayées par certains médias, elles donnent l’illusion d’un front uni des archéologues face à un ennemi commun ; en fait un ennemi intérieur « vendu au marché », dont la mise au ban de la communauté scientifique est réclamée. Le temps n’est pourtant pas si loin où les agents de l’Inrap étaient considérés par les chercheurs « institutionnels » comme la lie de la profession. Les mêmes qui dénoncent aujourd’hui les chantiers bâclés de leurs collègues sont-ils certains d’être toujours irréprochables dans l’exercice de leur métier ? Les placards des dépôts de fouille recèlent bien des cadavres, qui n’ont pas attendu l’avènement de la concurrence pour s’accumuler.
Le bruit des manifestations a couvert d’autres manœuvres plus discrètes. Certains articles du projet de loi ont été revisités dans l’intervalle, qui ne font plus l’unanimité. Pétitions et lettres ouvertes, émanant des services territoriaux et des salariés du privé, se sont succédé en l’espace de quelques jours. Poussant l’avantage, les syndicats n’exigent aujourd’hui rien de moins que le retour au monopole. Ce scénario, que le ministère a accepté d’examiner avant Noël, fait l’impasse sur des mois de concertation.
RÉFÉRÉ DE LA COUR DES COMPTES
Pour bien mesurer ses conséquences, il faut prendre connaissance du récent référé formulé par la Cour des comptes au sujet des difficultés chroniques de l’Inrap à assumer ses missions sans un recours aux subventions publiques. La charge est brutale et souvent injuste, mais elle pointe l’essentiel : en situation de monopole, il serait bien en peine de faire face à la totalité des demandes.
Qui, au vu du contexte budgétaire actuel, peut garantir qu’elles seront assurées par la création de centaines d’emplois publics ? La fermeture des sociétés privées est assumée sans états d’âme par des syndicats étiquetés à gauche. Leurs centaines de salariés n’auront d’autre perspective que Pôle emploi. Car peu trouveront leur place à l’Inrap, qui peine déjà à valoriser ses meilleurs éléments par des promotions internes au compte-gouttes. La sous-traitance de certains chantiers au privé a bien été envisagée en 2012, mais elle a tourné court sous la pression des syndicats.
APPRENTIS SORCIERS
Ce louable élan de défense du service public risque donc fort de se heurter au statu quo financier et à la réalité du terrain. L’Inrap ne pourra assumer ses missions qu’en allongeant les délais d’intervention. Les élus ont pris l’habitude de déplorer les retards de quelques mois qui affectent leurs travaux. Sont-ils prêts à accepter qu’ils soient à nouveau repoussés de plusieurs années au détriment des besoins en logements sociaux, écoles ou hôpitaux ?
A supposer que ces conséquences échappent à leur attention lors de l’examen du projet de loi, il est à craindre qu’elles se fassent rapidement sentir dans leur circonscription. Pour peu que l’Europe s’en mêle, au nom de la concurrence libre et non faussée, elles auront raison des plus ardents défenseurs du secteur public. Lesquels n’auront d’autre choix, faute d’alternative, que d’affaiblir la législation pour en revenir au système d’après-guerre : patrimoine massacré, retour des archéologues à la précarité et au bénévolat…
La légitimité acquise par l’Inrap et les relations qu’il a su tisser avec les autres acteurs de la recherche ont survécu à douze ans de concurrence. Il a tout àperdre d’une remise en cause du système actuel et de la diversité de ses acteurs. Les apprentis sorciers qui prônent ce salto arrière, au détriment immédiat de leurs collègues du privé, sont-ils prêts à en subir eux-mêmes les conséquences le jour venu ?
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Il semble aujourd’hui bien loin le temps où la France détruisait son passé à grands coups de tractopelle à chaque construction de parking ou d’autoroute. Dans les décennies d’après-guerre, l’aménagement du territoire et la mécanisation des travaux ont bien failli avoir raison de deux mille ans de patrimoine. La mise en place d’une législation qui régit l’archéologie dite « préventive » permet désormais aux chercheurs d’intervenir à la manière de pompiers pour documenter ces vestiges. Son financement fait surtout appel à des fonds privés, par le biais d’une redevance appliquée à l’ensemble des travaux et l’obligation faite à l’aménageur de payer les fouilles.
En 2001, une structure a été créée pour répondre à cette mission assumée jusqu’alors par des associations : l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), dont l’activité est complémentaire de l’archéologie « programmée », portée par les universités et le CNRS. L’écho médiatique qui accueille chacune de leurs découvertes peut donner le sentiment d’une communauté unie de professionnels animés par la même passion.
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La référence absolue des jeux de courses revient exclusivement sur Xbox One avec des graphismes réalistes et des centaines de voitures reproduites à la perfection.
MISE EN CONCURRENCE DES ARCHÉOLOGUES
Or il n’en est rien. Deux ans à peine après la création de l’Inrap, le gouvernement a instauré la mise en concurrence des archéologues. Les retards accusés par l’Institut dans la conduite de ses chantiers, dus en grande partie à l’impossibilité d’accroître ses effectifs, ont pesé dans le vote de députés qui sont aussi des élus locaux et les premiers aménageurs du territoire. A une situation de monopole difficilement tenable, ils ont opposé une logique d’appels d’offres. Le développement des services de collectivité et des sociétés privées a suscité la crainte, légitime, d’un déclin de l’Inrap, de licenciements massifs et d’une baisse drastique de la qualité des fouilles.
Pour éviter ces dérives, l’Etat impose un contrôle très strict des dossiers, et seules sont admises à intervenir des structures composées de chercheurs diplômés. Après des années de défiance à l’égard de ces « nouveaux » archéologues, la situation a fini par se normaliser. Malgré la concurrence commerciale, les collaborations entre chercheurs ont repris. L’évolution est sensible dans nos unités de recherche cogérées par l’Université et le CNRS, où les membres de l’Inrap, des collectivités territoriales et des sociétés privées œuvrent ensemble dans le cadre de projets d’intérêt général.
UNE RÉELLE LÉGITIMITÉ
Quant à la qualité scientifique des rapports de fouille, elle n’a pas varié. Ce qui n’a rien de surprenant, puisqu’ils sont rédigés par des chercheurs issus de la même filière universitaire. Le développement des opérateurs territoriaux et privés a favorisé leur embauche comme stagiaire, contrat à durée déterminée (CDD) puis contrat à durée indéterminée (CDI). Leur travail est constamment évalué par des comités de lecture et d’évaluation de la recherche. Geneviève Fioraso, la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, vient dereconnaître que les agents du privé contribuent autant que les autres au renouvellement des connaissances. Dans le même temps, l’Inrap a acquis une réelle légitimité par la qualité de son travail de recherche et de médiation. De nombreux ouvrages, colloques ou expositions nationales sont à porter à son crédit. Aux côtés du CNRS et de l’Université, il assume de fait un rôle prééminent en matière d’archéologie métropolitaine.
Interpellée par voie de pétition quelques semaines après sa nomination, Aurélie Filippetti, la ministre de la culture, se voit aujourd’hui sommée de réexaminer ce dispositif. Une commission a été mise en place en 2012, chargée de planchersur la rédaction d’un livre blanc qui a été remis au mois de mars. Les débatsmenés sous l’égide d’Aurélie Filippetti par l’ensemble des acteurs, publics et privés, ont débouché sur un projet plutôt consensuel de révision de la loi sur le patrimoine.
ILLUSION D’UN FRONT UNI FACE À UN ENNEMI COMMUN
En dépit de ces avancées, des manifestations récurrentes sont organisées par les syndicats de l’Inrap à chaque apparition de la ministre. Relayées par certains médias, elles donnent l’illusion d’un front uni des archéologues face à un ennemi commun ; en fait un ennemi intérieur « vendu au marché », dont la mise au ban de la communauté scientifique est réclamée. Le temps n’est pourtant pas si loin où les agents de l’Inrap étaient considérés par les chercheurs « institutionnels » comme la lie de la profession. Les mêmes qui dénoncent aujourd’hui les chantiers bâclés de leurs collègues sont-ils certains d’être toujours irréprochables dans l’exercice de leur métier ? Les placards des dépôts de fouille recèlent bien des cadavres, qui n’ont pas attendu l’avènement de la concurrence pour s’accumuler.
Le bruit des manifestations a couvert d’autres manœuvres plus discrètes. Certains articles du projet de loi ont été revisités dans l’intervalle, qui ne font plus l’unanimité. Pétitions et lettres ouvertes, émanant des services territoriaux et des salariés du privé, se sont succédé en l’espace de quelques jours. Poussant l’avantage, les syndicats n’exigent aujourd’hui rien de moins que le retour au monopole. Ce scénario, que le ministère a accepté d’examiner avant Noël, fait l’impasse sur des mois de concertation.
RÉFÉRÉ DE LA COUR DES COMPTES
Pour bien mesurer ses conséquences, il faut prendre connaissance du récent référé formulé par la Cour des comptes au sujet des difficultés chroniques de l’Inrap à assumer ses missions sans un recours aux subventions publiques. La charge est brutale et souvent injuste, mais elle pointe l’essentiel : en situation de monopole, il serait bien en peine de faire face à la totalité des demandes.
Qui, au vu du contexte budgétaire actuel, peut garantir qu’elles seront assurées par la création de centaines d’emplois publics ? La fermeture des sociétés privées est assumée sans états d’âme par des syndicats étiquetés à gauche. Leurs centaines de salariés n’auront d’autre perspective que Pôle emploi. Car peu trouveront leur place à l’Inrap, qui peine déjà à valoriser ses meilleurs éléments par des promotions internes au compte-gouttes. La sous-traitance de certains chantiers au privé a bien été envisagée en 2012, mais elle a tourné court sous la pression des syndicats.
APPRENTIS SORCIERS
Ce louable élan de défense du service public risque donc fort de se heurter au statu quo financier et à la réalité du terrain. L’Inrap ne pourra assumer ses missions qu’en allongeant les délais d’intervention. Les élus ont pris l’habitude de déplorer les retards de quelques mois qui affectent leurs travaux. Sont-ils prêts à accepter qu’ils soient à nouveau repoussés de plusieurs années au détriment des besoins en logements sociaux, écoles ou hôpitaux ?
A supposer que ces conséquences échappent à leur attention lors de l’examen du projet de loi, il est à craindre qu’elles se fassent rapidement sentir dans leur circonscription. Pour peu que l’Europe s’en mêle, au nom de la concurrence libre et non faussée, elles auront raison des plus ardents défenseurs du secteur public. Lesquels n’auront d’autre choix, faute d’alternative, que d’affaiblir la législation pour en revenir au système d’après-guerre : patrimoine massacré, retour des archéologues à la précarité et au bénévolat…
La légitimité acquise par l’Inrap et les relations qu’il a su tisser avec les autres acteurs de la recherche ont survécu à douze ans de concurrence. Il a tout àperdre d’une remise en cause du système actuel et de la diversité de ses acteurs. Les apprentis sorciers qui prônent ce salto arrière, au détriment immédiat de leurs collègues du privé, sont-ils prêts à en subir eux-mêmes les conséquences le jour venu ?
Invité- Invité
Re: Les Archéologues en guerre
c'est un message codé pour echapper à la NSA ? (les mots en grisées dans un trééééééés long texte).
"avoir archéologie documenté payer répondre...."
Oui bon on avait compris l'idée, ils demandent des sous...
"avoir archéologie documenté payer répondre...."
Oui bon on avait compris l'idée, ils demandent des sous...
neodom34- Messages : 1247
Date d'inscription : 09/09/2010
Re: Les Archéologues en guerre
Je ne suis pas d'accord du tout, il y a de très bon jeux de course de voiture sur PC par exemple, la Xbox 1 n'est pas exclusive
Perceval- Messages : 2593
Date d'inscription : 02/11/2011
Localisation : Ile de France
Re: Les Archéologues en guerre
j'en ai un très bien sur mon smartphone
neodom34- Messages : 1247
Date d'inscription : 09/09/2010
Re: Les Archéologues en guerre
merci pour l'info Jean-Louis, dire qu'en Lorraine les Inrapiens sont obligés de se tourner les pouces en matière de Préhistoire.....
Re: Les Archéologues en guerre
Heureusement qu'il y a les bénévoles acharnés ... et qui obtient des résultats !!!
Je vous laisse ... je vais prospecter
Je vous laisse ... je vais prospecter
Invité- Invité
Re: Les Archéologues en guerre
Bonjour et meilleurs vœux.
En réaction à l'article du Monde : apparemment en Alsace, la cohabitation public-privé ne génère pas de frictions puisque Antea Archéologie est nommée dans une publication de...l'Inrap (Fouilles et découvertes en Alsace). Le SRAA délivre même des autorisations de sondage (disons le carrément : fouille de plusieurs dizaines de mètres carrés sur une durée de 5 mois) à des amateurs bénévoles sans la moindre qualification, si ce n'est la passion, la détermination et certains appuis. Ceci permet au moins de faire avancer les connaissances. À bon entendeur...
A plus
En réaction à l'article du Monde : apparemment en Alsace, la cohabitation public-privé ne génère pas de frictions puisque Antea Archéologie est nommée dans une publication de...l'Inrap (Fouilles et découvertes en Alsace). Le SRAA délivre même des autorisations de sondage (disons le carrément : fouille de plusieurs dizaines de mètres carrés sur une durée de 5 mois) à des amateurs bénévoles sans la moindre qualification, si ce n'est la passion, la détermination et certains appuis. Ceci permet au moins de faire avancer les connaissances. À bon entendeur...
A plus
Schmit- Messages : 19
Date d'inscription : 22/10/2011
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